L’ostéopathe choisit la technique la mieux adaptée et la plus confortable pour chaque patient en fonction de son âge, de sa morphologie et de la zone du corps à corriger. Ainsi l’ostéopathie est une thérapie universelle s’adressant à tous : nourrisson, enfant, adulte, personne handicapée, femme enceinte, sportif et personne âgée.
L’ostéopathie vise avant tout à proposer un traitement « à la carte » pour chaque patient. Le praticien recherche à dynamiser le terrain du patient (notion qui englobe le fonctionnement, les capacités et les limites de chaque organisme) afin que celui-ci retrouve pleinement sa faculté d’autorégulation, indispensable pour se maintenir en bonne santé.
L’ostéopathie traite les troubles fonctionnels en recherchant leurs origines. Elle agit sur l’ensemble des grands systèmes physiologiques du corps.
Lorsqu’une douleur s’installe, ou lorsqu’il y a eu un traumatisme ne nécessitant pas le recours à l’immobilisation ou à la chirurgie, l’ostéopathe intervient pour rétablir l’équilibre fonctionnel et éviter ou diminuer les compensations douloureuses de l’organisme.
Il contribue également à diminuer considérablement les périodes de convalescence, les risques de séquelles ou de récidives, et augmenter les capacités de rétablissement de l’organisme.
L’ostéopathie connaît ses limites et ne prétend pas tout soigner. Elle ne propose pas de guérir les maladies dégénératives (cancer, sida, sclérose en plaque…), les maladies génétiques (mucoviscidose, myopathie…), les maladies infectieuses (tuberculose, tétanos…). Par contre elle peut apporter, en parallèle d’un suivi médical adapté, un confort aux patients atteints de ces troubles en aidant leur organisme à éliminer les tensions ou effets secondaires rencontrés au cours des traitements de ces maladies.opathe choisit la technique la mieux adaptée et la plus confortable pour chaque patient en fonction de son âge, de sa morphologie et de la zone du corps à corriger. Ainsi l’ostéopathie est une thérapie universelle s’adressant à tous : nourrisson, enfant, adulte, personne handicapée, femme enceinte, sportif et personne âgée…
L’objectif de l’ostéopathe est de restaurer la mobilité des différentes structures du corps. Pour cela, il utilise des techniques manuelles très précises et adaptées à la particularité de chaque patient.
L’ostéopathe commence par un interrogatoire précis du patient. Ensuite il effectue un examen clinique et des tests lui permettant d’établir un diagnostic d’exclusion.
Ensuite il effectue un examen ostéopathique lui permettant de localiser les troubles mécaniques, les restrictions de mobilité au niveau des membres, de la colonne vertébrale, des articulations des os du crâne et le manque de mobilité des viscères.
Le traitement consiste en techniques manipulatoires structurelles, viscérales et crâniennes. L’ostéopathie englobe l’intégralité des gestes qu’une main peut accomplir pour atténuer une douleur ou apporter un réconfort, mais également pour aider l’organisme à mieux s’adapter autour des agressions physique et morales que ce dernier peut subir.
L’interrogatoire, ou anamnèse, est fondamental lors de la consultation ostéopathique. En effet, un corps a une histoire où chaque traumatisme est important et il est nécessaire pour l’ostéopathe de la connaitre afin de lui donner des pistes pour mieux comprendre son patient.
Le diagnostique découle de l’interrogatoire ainsi que des informations que donne le corps du patient via les mains du praticien.
Une fois la cause du problème diagnostiqué, l’ostéopathe va pouvoir choisir le traitement adapté.
Que le traitement soit structurel (articulations), fonctionnel (tissus et fascia), viscéral (intestins), crânien ou respiratoire, il n’est ni invasif ni douloureux.
De nombreux symptômes peuvent être traités par l’ostéopathie a partir du moment où il ne demande pas une prise en charge médicale (type bactéries, virus, cancer,…) et où ils restent purement mécaniques.
Le mal de dos de type cervicalgie (douleur cervicale), lombalgie (douleur lombaire) ou dorsalgie (douleur dorsale ou costale) ;
Les maux de tête ou céphalées ;
Les troubles du système digestif (diarrhée, constipation, ballonnements, douleurs gastriques) ;
Les douleurs de type sciatique ;
Les suites d’entorses ou de tout autre type de traumatismes ;
Le travail de cicatrices suite à une opération chirurgicale ;
Les douleurs articulaires ou limitation de l’amplitude du mouvement ;
La fatigue chronique ;
Les troubles du sommeil et de la concentration ;
…
Le nombre de séances dépend du traumatisme et de l’ancienneté de celui-ci.
En moyenne, deux séances espacées d’un mois sont nécessaires mais pour certaines dysfonctions, trois sont parfois conseillées.